mercredi 10 août 2005

Thomson Lyra PDP 2548

Je viens d'acheter le lecteur MP3 Thomson Lyra PDP 2548. Il possède 128 Mo de mémoire interne. On a la possiblité d'augmenter sa mémoire grâce à l'insertion d'une carte SD ou MMC. Il gère les formats de fichiers MP3, WMA et également le format WMA-DRM qui permet l'achat de musiques sur les sites de téléchargements légaux de musique. Il est reconnu automatiquement par Windows XP comme une clé USB. Il est donc très facile d'y insérer les fichiers par l'explorateur de Windows. De plus, il peut aussi servir de clé USB puisqu'on peut y insérer toutes sortes de fichiers (pas forcément des fichiers de musique). Dans l'explorateur, apparaissent deux disques supplémentaires : l'un correspondant à la mémoire interne et l'autre à la mémoire externe. Bien que je ne sois pas un grand spécialiste en la question, je trouve le son tout à fait honorable (en tout cas, largement suffisant pour mes besoins).

Dans la notice, il n'est précisé aucune indication concernant les possibilités d'extension de mémoire par l'ajout d'une carte SD ou MMC. J'ai donc décidé d'écrire au constructeur Thomson pour le savoir. Au passage, j'ai eu la réponse 12H après (par mail).

Le lecteur Lyra PDP 2548 accepte :

  • les cartes MMC d'une capacité maximale de 512 Mo
  • les cartes SD d'une capacité maximale de 1 Go

De plus, il faut savoir que ce lecteur ne peut gérer que 239 fichiers au total, et pas un de plus.

Dans mon cas, je convertis tous les fichiers qui se trouvent sur CD au format WMA 64kbit/s. Cela se traduit par la possibilité de sauvegarder en moyenne une soixantaine de musique pour 128 Mo de mémoire, d'où 120 pour 256 Mo, 180 pour 384 Mo et 240 pour 512 Mo.

Il serait donc tentant pour rentabiliser au mieux l'achat de cartes mémoires que ce lecteur possède 512 Mo. Etant donné qu'il y a 128 Mo de mémoire interne et que les cartes de mémoire n'existent pas en version 384 Mo, le mieux est donc d'acheter des cartes de 256 Mo, ce qui permettrait d'avoir 384 Mo de mémoire (128 en interne et 256 en externe). On peut aussi acheter des cartes de 512 Mo de mémoire et les utiliser de façon partielle ou bien les remplir entièrement mais sans utiliser la mémoire interne du lecteur. Quoi qu'il en soit, une carte de 1 Go de mémoire est inutile dans mon cas.

Personnellement, j'opterai pour la première possibilité, à savoir 128 Mo en interne et 256 Mo en externe. Je remplirai la mémoire interne par mes soixante chansons préférées et sur les cartes de 256 Mo les autres. Grâce à l'utilisation de plusieurs cartes mémoire, je peux donc avoir à ma disposition autant de musiques que je le souhaite. De plus, le prix de ces cartes est en constante diminution.

jeudi 28 juillet 2005

Opérateur, je veux te voir !

Souhaitant de nouveau m'abonner à un forfait de téléphonie mobile, je me suis donc intéressé aux différentes offres du marché. Je ne suis pas quelqu'un d'exigeant en la matière. Je recherche simplement un forfait classique me permettant d'appeler et être appelé. Je m'oriente vers un forfait de 2 h ou 4 h. Les trois opérateurs français proposent tous la facturation à la seconde et la présentation du numéro qui sont les deux services dont j'ai besoin et qui sont inclus dans ces forfaits.

Choix apparemment évident d'un forfait

Concernant l'offre Orange, je m'oriente donc vers un "forfait ajustable", chez SFR un "forfait essentiel" et chez Bouygues Telecom un "forfait référence".

Au 28 juillet 2005, voici les tarifs des forfaits classiques 2 h ou 4 h (12 mois) chez ces trois opérateurs mobiles français :


Durée du forfaitBOUYGUESSFRORANGE
2 h 29 € 36 € 37,5 €
Comparaison
avec Bouygues
en pourcentage --- + 24 % + 29 %
sur une année --- + 84 € + 102 €
4 h 42 € 53 € 53,5 €
Comparaison
avec Bouygues
en pourcentage --- + 26 % + 27 %
sur une année --- + 132 € + 138 €


Je constate au premier abord côté tarifs qu'il n'y a donc pas à hésiter : Bouygues est nettement moins cher.

Si j'évalue de façon totalement personnelle la qualité et le taux de recouvrement du territoire des trois réseaux, je dois dire qu'ayant étant abonné chez chacun de ces trois opérateurs, je n'ai jamais vu aucune différence.

Ma conclusion est donc évidente : je choisis un forfait Bouygues Telecom.

Constat

Cependant, je me pose une question. Pourquoi, malgré mes arguments ci-dessus, trouve-t-on une si grande différence entre ma conclusion et celle de millions d'abonnés qui ont choisi SFR ou Orange ?

Examinons cela de plus près en consultant les chiffres de l’Observatoire des Mobiles publiés sur le site de l'ARCEP le 30 juin 2005.


OpérateursBOUYGUESSFRORANGE
Parc de forfaits en milliers 4 527 8 886 12 170
en pourcentage 18 % 35 % 47 %


On peut constater que SFR et Orange regroupent à eux deux 82 % des forfaits et seulement 18 % pour Bouygues. C'est une énorme différence compte-tenu de ce qui a été dit précédemment. Bien que Bouygues Telecom propose des tarifs inférieurs aux autres opérateurs, cela n'attire à priori pas plus de clients : d'après les résultats fournis par l'ARCEP, la part de marché de Bouygues Telecom est restée stable par rapport à l'année précédente.

Pourquoi ?

On peut penser que cela provient peut-être d'une question historique. En effet, les deux plus anciens réseaux de téléphonie mobile sont ceux de SFR (en 1991) et Orange (Itinéris à l'origine en 1992) . Celui de Bouygues n'a débuté qu'en 1996 , soit quatre ans plus tard. Il est donc normal que Bouygues ait mis un peu de temps à s'imposer sur ce marché. Aujourd'hui, cela fait 9 ans de cela. Je pense que Bouygues a eu largement le temps de le faire.

La fidélité des clients peut aussi jouer en faveur d'Orange et SFR étant donné leur présence avant Bouygues et tous les moyens employés par les opérateurs afin de fidéliser leurs clients.

Concernant la qualité et la couverture du réseau, les résultats publiés en juillet 2005 par l'ARCEP montrent que les trois réseaux se valent de façon générale.

Je pense plutôt que cela provient essentiellement de deux raisons :

  • France Telecom est l'opérateur historique qui commercialise les offres Orange. Beaucoup de personnes n'y connaissent pas grand chose dans toutes ces nouvelles technologies. Aussi, lorsque l'envie leur prend d'avoir eux aussi un téléphone mobile, la solution la plus naturelle est de se rendre dans une agence France Telecom. Il en est de même pour Internet : France Telecom commercialise les offres Wanadoo et naturellement Wanadoo est le numéro un des fournisseurs d'accès à Internet en France.
  • La deuxième raison découle de la première. Les personnes en général ont plutôt tendance à se rendre dans une agence France Telecom ou un Espace SFR dès qu'ils ont un besoin en téléphonie mobile. Pourquoi ? Car la densité des agences France Telecom et des Espaces SFR sur le territoire français est beaucoup plus importante que celle des boutiques Clubs Bouygues Telecom.

OpérateursBOUYGUESSFRORANGE
Nombre d'agences effectif 365 500 600
en pourcentage 25 % 34 % 41 %


On peut constater que ce tableau et celui qui précède ont de grandes similitudes et qu'il semble qu'il y ait donc un lien (de proportionnalité ?) entre le nombre d'agences des opérateurs et celui de leurs abonnés. Plus l'opérateur est présent sur le territoire, plus les clients leur font confiance.

Conclusion

Le client veut du concrêt : avoir un lieu où se rendre pour se renseigner ou acheter un téléphone mobile, ou bien le réparer sans avoir l'obligation de contacter le service clientèle par téléphone ou Internet. Le client est prêt à payer plus cher en ayant la garantie de la proximité de l'opérateur. Le contact réel entre les clients et l'opérateur est donc primordial.

A l'heure actuelle où tout semble devenir de plus en plus virtuel avec par exemple la suppression de guichets (dans les banques, EDF, ...) au profit de guichets électroniques, téléphoniques ou d'Internet, avec l'incitation faite aux clients pour remplacer les factures papiers par des factures électroniques, avec la généralisation des serveurs vocaux, etc ... , on peut se demander si aujourd'hui la nouvelle mode (côté client) ne serait pas plutôt un retour aux sources.


Site de l'ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes)
http://www.arcep.fr

dimanche 24 juillet 2005

Internet Plus : le micro-paiement universel

Six fournisseurs d'accès à Internet (Wanadoo, Club Internet, Tiscali, Cegetel, AOL et Neuf Telecom) et trois associations (l'ACSEL, le GESTE, et le GFII) viennent de s'accorder sur le lancement d'un Kiosque FAI baptisé "Internet Plus" permettant de faciliter le paiement de services Internet en deux clics de souris.

Avec l'adoption de plus en plus importante de l'ADSL par les internautes (70 % des internautes connectés au haut débit à domicile contre 50 % au début de l’année 2004), le développement du e-commerce n'a cessé de progresser. "La croissance soutenue de l'e-commerce crée des conditions propices au développement des paiements de faible montant" indiquait l'Acsel en février 2004 dans son livre blanc consacré aux services payants en ligne. "Mais sur Internet, il manque toujours un système de kiosque Internet universel capable de développer les paiements de faible montant". D'autant plus qu'utiliser sa carte bancaire pour régler un achat sur la toile reste pour beaucoup un problème.

Afin d'y remédier, le 15 juin 2005, plusieurs FAI et associations cités ci-dessus se sont unis pour créer un kiosque internet permettant de règler très facilement de petits montants (téléchargements, services) et cela de façon totalement sécurisée. Les sommes ainsi perçues par les prestataires sont directement débitées sur la facture de l'abonné Internet.Ce kiosque est accessible dés aujourd'hui pour les abonnés Wanadoo, Club Internet et Tiscali. Les clients de Cegetel devront attendre l'été, et ceux d'AOL et de Neuf Telecom l'automne. Cela représente prés de 9 millions d'abonnés selon IDC (78% du marché grand public). Il est à noter l'absence de Free, le premier opérateur alternatif, et Télé2 qui n'ont pas souhaité faire partie de ce partenariat.

Comment cela fonctionne-t-il pour les internautes ?

Avec Internet Plus, les internautes abonnés à l’un des Fournisseurs d’Accès Internet membres d’Internet Plus (connexion bas débit ou haut débit) peuvent acheter des services et des contenus sur le Web, le montant de leurs achats étant reporté sur la facture de leur FAI.

Grâce à l’identification automatique de leurs abonnés par les FAI (à l'aide de leur adresse IP), deux clics suffisent à l’internaute pour acheter et confirmer son achat, sans qu’à aucun moment une donnée personnelle ou bancaire ne soit nécessaire.

Les internautes peuvent ainsi acheter en toute confiance, car leurs achats sont réglés, en différé, via leur facture habituelle d’accès Internet. Internet Plus ne nécessite aucun kit ou logiciel particulier sur le poste de l’internaute ; aucune donnée personnelle n’est demandée ou ne transite sur le réseau.

La limite d'achat est fixée à 15 euros par transaction et à 60 euros par mois.

Une charte de confiance

Le kiosque Internet Plus définit en plus une charte de qualité des services : c'est pour le consommateur un label de confiance pour un achat facile et fiable sur la facture des fournisseurs d'accès à Internet.

Voici la charte de confiance telle qu'elle est définie sur le site officiel d'Internet Plus.

1. Des services de qualité
Internet+,
c'est tout d'abord un engagement fort des éditeurs signataires sur la qualité des services et des informations proposés, ainsi que sur leur rythme de mise à jour, dans le respect de la déontologie suivant les recommandations du CST Conseil Supérieur de la Télématique.

2. La simplicité d'utilisation d'un paiement en 2 clics
Internet+,
c'est ensuite, un engagement de simplicité d'utilisation avec une ergonomie de paiement identique pour tous les services des éditeurs signataires, avec un paiement en deux clics. C'est aussi une assurance sur la qualité technique des services proposés (compatibilité avec les principales versions des navigateurs etc.).

3. Une information claire sur les prix et sur l'identité de l'éditeur
Internet+,
c'est également un engagement des éditeurs à informer les utilisateurs sur leur activité et sur le prix de leurs services de manière claire et non équivoque avant tout acte d'achat.

4. La loyauté des informations et services proposés
Internet +,
c'est une description claire et détaillée des contenus et des services proposés avec un annuaire regroupant les services par rubrique selon une typologie commune, à terme.

5. Une facturation claire et lisible
Internet+,
c'est une facture claire et lisible sans mauvaise surprise. Les services achetés sont regroupés périodiquement et facturés sur la facture de votre fournisseur d'accès Internet.

6. Le respect des données personnelles
Internet+,
c'est aussi l'engagement des éditeurs et des fournisseurs d'accès autour du respect des libertés individuelles conformément aux recommandations de la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés) et de la LEN (Loi sur l'Economie Numérique).

7. Le respect de la propriété intellectuelle
Internet+,
c'est enfin l'engagement des éditeurs de ne diffuser que des contenus légaux dans le respect des droits de propriété industrielle ou intellectuelle.

Une solution éprouvée depuis plusieurs années

En novembre 2000, France Télécom a créé la société w-HA S.A. dans le but de développer un système de micro-paiement pour Internet. Elle donne naissance à la plateforme de micro-paiement w-HA exploitant la technologie iPIN en France et en Europe. Ainsi France Télécom a déployé sa solution de micro-paiement w-HA sur les réseaux de Wanadoo et Club Internet en mars 2002, et Tiscali en février 2003. En pratique, Wanadoo, Tiscali et Club Internet proposent sur leur portail des offres et services dont le paiement est basé sur la plateforme w-HA rebaptisée respectivement chez chacun de ces trois FAI "services à la carte", "Tiscali Achat Confiance" et "e-services".

Le 15 juin dernier, cette plateforme w-HA a été uniformisée par tous ces acteurs du e-commerce (FAI, sociétés de services) pour donner naissance à Internet Plus. Cependant, cette progression n'est pas appréciée par tout le monde. Le GIE manifeste son mécontentement car il estime que « Le paiement c'est nous ! », a indiqué Yves Randoux, administrateur du Groupement des cartes bancaires. L'Afors (Association française des opérateurs de réseaux et services de télécommunications) s'inquiète de la domination de France Télécom. Elle indique aussi les limites d'Internet Plus : « Le service kiosque ne fonctionne que pour de petits montants si on ne veut pas aller au devant d'impayés », propos du vice-président Richard Lalande. Malgré ces divergences, ni le GIE, ni l'Afors n'ont réussi à proposer d'autres solutions de paiement facile de faibles montants.

Facile ... mais peut-être un peu trop

Un abonné Wanadoo a eu la désagréable surprise de voir sa facture Internet plus élevée que prévu. « Je viens de m'apercevoir qu'un montant de 22,60 euros m'était facturé au titre d'un service dénommé "Vos achats Service Plus à la Carte et Internet Plus".Après enquête, j'ai découvert que c'est ma fille de neuf ans qui avait acheté des jeux sur le site Prizee.com. »

En effet, le service de micro-paiement Internet Plus est activé par défaut dès la souscription à un abonnement Internet chez Wanadoo et Tiscali. L'abonné, s'il ne rend pas sur la page de gestion de son compte Internet, n'est donc pas au courant de la mise en place de ce service. Il est donc facile, même trop facile, d'effectuer des achats en deux clics de souris.

Il serait donc souhaitable que des mesures pour empêcher de se retrouver dans cette situation soient prises par les différents FAI :

  • Désactiver par défaut ce service à la souscription à un abonnement internet. L'internaute sera assez tôt à l'activer le jour où il est amené à effectuer un paiement à l'aide d'Internet Plus
  • Seule une vérification de la connexion est effectuée lors du paiement par Internet Plus (par l'adresse IP). Aucune vérification de l'identité réelle de l'internaute n'est effectuée. Ainsi toute personne (famille, amis, collègues) se connectant sur Internet peut effectuer des achats par ce service sans aucun problème et cela au nom du détenteur principal du compte internet. Il serait souhaitable qu'une identification ait lieu par l'entrée au minimum d'un mot de passe lors de chacune des transactions

Site d'Internet Plus : http://www.internetplus.fr

ACSEL : Association pour le Commerce et les Services En Ligne
GESTE : Groupement des Editeurs de Services en Ligne
GFII : Groupement Français de l'Industrie de l'Information

dimanche 17 juillet 2005

Mise à jour de ma LiveBox

Ma LiveBox s'est mise à jour le lundi 04 juillet 2005 en y installant la nouvelle version du firmware 240. Cette dernière était conséquente puisqu'elle a entièrement remplacée la précédente. Cette opération qui a duré une demi-heure s'est déroulée sans aucun problème. Cela fait maintenant deux semaines que je l'utilise et c'est pourquoi j'en fais le bilan.

Avant d'en tirer des conclusions, je décris mon dispositif informatique. Je possède un ordinateur de bureau (fonctionnant sous Windows 98 SE) relié à la LiveBox par un cable Ethernet, un ordinateur portable (Windows XP) communiquant par Wifi et un troisième ordinateur de bureau (Windows 98 SE) relié également par Wifi.

Comparé à l'ancienne version du firmware de la LiveBox, je dois dire que j'en suis nettement plus satisfait. En voici les raisons :

  • La nouvelle architecture des adresses IP basée sur la même plage d'adresses quelque soit le moyen de connexion à la LiveBox (Ethernet, Wifi, Bluetooth) permet une communication plus facile entre les différents ordinateurs qui apparaissent tous dans le voisinage réseau.
  • Cette nouvelle architecture d'adresse IP permet de voir en permanence tous les ordinateurs même s'ils sont inactifs durant un long moment. En effet, auparavant, il m'était impossible de voir mon deuxième ordinateur de bureau (Wifi) à l'aide du premier (Ethernet) si celui connecté en Wifi était inactif durant plus de vingt minutes. Il avait donc fallu que je bidouille mon premier ordinateur de bureau afin de lancer une recherche de fichier toutes les quinze minutes sur le deuxième à l'aide d'une tache planifiée.
  • A cause de l'ancienne architecture et des problèmes de communication entre mes différents ordinateurs, il avait fallu que je fixe chaque adresse IP manuellement (sauf pour XP). Aujourd'hui, j'ai configuré tous mes ordinateurs à se connecter automatiquement à ma LiveBox (DHCP).
  • Auparavant, il m'arrivait souvent d'être déconnecté du Wifi. Depuis cette nouvelle version, je n'ai jamais été déconnecté.
  • Il m'était souvent arrivé de devoir relancer ma LiveBox car elle ne communiquait plus avec les serveurs de Wanadoo. Depuis la nouvelle version du firmware, je n'ai jamais rencontré ce problème.

De mon point de vue, la nouvelle version de ma LiveBox est donc un point très positif pour mon réseau. Je pense que pour quelqu'un qui n'y connait pas grand chose en réseau, elle est très intéressante car elle permet la création d'un petit réseau sans véritablement poser de problème puisque tout ordinateur peut être connecté de façon automatique sans devoir les configurer manuellement.

En ce qui concerne des réseaux plus compliqués, je ne peux rien en dire car je ne suis pas un spécialiste de ce genre de chose.

vendredi 15 juillet 2005

Fichier document : à quoi bon tant de formats ?


On peut constater qu'il existe un nombre considérable de formats de fichiers documents destinés à communiquer de l'information. Il en existe autant que de logiciels permettant d'en créer : Word, Works, WordPerfect, OpenOffice, StarOffice, AmiPro, AbiWord, etc .... Est-il si utile aujourd'hui d'en avoir de si nombreux ?

Il fut un temps ...

A l'entrée dans l'ère numérique il y a quelques décennies, il était de mise de posséder un traitement de texte qui soit performant, possédant toutes les fonctions les plus sophistiquées, les plus originales et qui soit wysiwyg. Car malgré l'avènement de l'informatique, chacun avait besoin d'imprimer toutes sortes de documents afin de les diffuser au plus grand nombre possible. C'est pourquoi entre 1975 et 1997, la consommation mondiale de papier a plus que doublé.

De nos jours ...

Aujourd'hui, avec l'entrée du réseau dans la vie quotidienne de l'informatique, est-il si nécessaire de devoir imprimer tous les documents créés par un traitement de texte ? En effet, un document peut être facilement transmis à n'importe qui en quelques secondes par l'intermédiaire d'un courrier électronique ou en le partageant sur un réseau local. Ainsi, toute personne peut le consulter sans pour autant l'avoir imprimé. L'impression de documents devient donc secondaire. Seul le contenu du document reste une priorité.

Conséquence

De ce constat, on peut alors se demander aujourd'hui de l'intérêt d'un tel nombre de formats textes incompatibles entre eux. Car bien que n'importe quel fichier puisse être envoyé facilement, faut-il encore que le destinataire puisse le lire avec le bon logiciel. Puisque seul le contenu du document est important, il suffirait donc que chacun utilise le même format de données. Parmi les formats de données usuels existants, j'ai recherché celui le plus couramment utilisé et le plus universel possible. Voici donc la conclusion que j'en ai tirée.

Conclusion

Si seul le contenu du document est important, il lui faut également un minimun de formatage (police de caractères, format des caractères, structures, ...). Aussi le format HTML convient tout à fait à cet usage. Tout utilisateur peut lire ce format hyper-texte avec n'importe quel navigateur internet. Il permet de structurer tout document et formater les caractères. On peut y faire figurer des tableaux, des images, des listes, ce qui est largement suffisant pour diffuser une information. La création de tels fichiers peut se faire à l'aide d'un simple éditeur HTML ou même d'un traitement de texte.

Des lacunes cependant, mais suffisant pour Monsieur Tout Le Monde

Le format HTML a pourtant ses limites. Dans certains domaines, ce format est insuffisant comme par exemple en sciences où apparait la nécessité de pouvoir écrire des formules mathématiques. De plus, ce format n'est pas crypté et protégé par un mot de passe : toute personne ayant un document HTML peut modifier le contenu, la structure, les images.

Malgré ces lacunes, le format HTML convient tout à fait au particulier désirant créer, sauvegarder et diffuser de l'information. Il est donc inutile d'utiliser un imposant traitement de textes pour rédiger un document n'ayant pas la vocation d'être imprimé, au risque qu'il ne puisse être lu par leurs destinataires. Mieux vaut utiliser un format connu de tous et diffusé largement sur Internet et ailleurs. N'est-il pas suffisant pour que vous, lecteur de Venusia, n'ayez pris connaissance de cet article rédigé à l'aide du format HTML ?